Secteur de la construction

La mise sur pied de la grappe dans le secteur de la construction a permis de dresser un portrait des enjeux prioritaires actuels au Québec. Un système de gestion anticorruption répond à certains enjeux tels ceux liés à la réputation, la confiance du public et la rétention du personnel.

L’écosystème de la construction est composé de multiples parties prenantes.

Pour chacune d’elles, la mise en place d’un système de gestion prévenant les actes répréhensibles, par l’audit externe d’un tiers indépendant, neutre et professionnel, permet d’assurer l’existence d’une réelle prise en charge des risques de corruption. La démarche d’implantation et de certification induit plus que la confiance envers ces organisations.

La gestion des risques de corruption, le coeur du système de prévention, permet d’adapter les mesures d’atténuation à la réalité de l’entreprise et d’intégrer les règles, les normes existantes afin de développer un système opérationnel qui évitent les redondances et les contrôles inutiles.

De plus, le développement du système impliquant les membres des équipes de travail permet d’influencer significativement la culture organisationnelle. Cette approche, par la réflexion commune aux enjeux de l’organisation, développe la compétence éthique et favorise la pérennité des mesures mise en place en dotant les membres des équipes de travail de réflexes adéquats pour faire face aux nouveaux stratagèmes.

Une culture organisationnelle intègre dans laquelle les employés se reconnaissent et sentent qu’ils y contribuent est un facteur important dans le choix d’un employeur. Il s’agit d’un défi de taille mais les entreprises parvenant à le relever, en plus de favoriser un environnement de travail stimulant, attirent plus d’employés et retiennent les talents.